- iLa situation à la mairie de Rufisque n’a pas évolué dans le bon sens. Entre le préfet , le payeur d’un côté et la mairie de l’autre, chacun campe sur ses positions. Les premiers nommés, on se sait au non quoi restent déterminés à ne pas payer les salaires des 14 agents régulièrement recrutés. Le maire et son Dage se refusant pour des raisons humaines et légales de de ravir à de jeunes rufisquois compétents leur premier emploi, et de briser par là, un rêve de vie, de bien-être, et de stabilité. Moralement c’est un pas qu’il ne faut pas franchir.
Aussi refusant t-ils de soustraire les noms de 14 agents normaux de la masse globale des salaires , le maire et le DAGE de la ville ont pris leurs responsabilités, et envoyé envoyant au payeur du trésor les états de salaire avec une réquisition. Afin que tous les agents sans exception soient payés. On nous apprend à l’heure où nous rédigeons cet article que le payeur reste et demeure dans sa position.
La mauvaise face de cette histoire est que des centaines de familles rufisquoises sont privées de leur pitance. Dès lors le préfet et le payeur sont face à leur propre conscience. Si celle ci permet à ces deux fonctionnaires d’agir de la sorte, libre à eux de continuer à priver ces centaines de familles de leur moyens de survie. Puisqu’en réalité Dieu reste le seul vrai marionnettiste de ce monde.
En déphasage avec le président Macky Sall
En choisissant ainsi de supprimer des emplois, il entravent de fait les efforts que déploient le président de la République et son gouvernement pour réaliser leurs promesses en matière de politique d’emploi des jeunes.
Et tous les rufisquois, notamment les membres de la société civile, des imams et du clergé catholique de la ville doivent subir pour protéger l’emploi de leurs enfants.
Nous y reviendrons, avec l’identité de ce fonctionnaire qui a casé dans cette même mairie des filleules et qui a bénéficié de stage à l’étranger aux frais de la Ville.