"/>Le leader de PASTEF – les patriotes qui a fait face à la presse a axé son propos sur la jmarche de ka justice et sur le dialogue auquel appelé le président Macky Sall.
Ousmane Sonko a rappelé que depuis l’an 2016, il est persécuté par une » justice aux ordres ». De la levée de son immunité parlzbtaire dans des conditions rocambolesques dans l’affaire du complot de Sweet beauté au récent procès de diffamation qui l’opposé à Mame Mbaye Niang, le leader des patriotes n’a laissé aucun détails sur l’injustice qu’il subit au quotidien. Dans le même registre il est revenu sur les modifications apportées par le procureur Bassirou Gueye sur le procès verbal d’enquête de la section de recherche. Aux seule fins de le faire condamner dans un dossier qui n’en est vraiment pas un. Sans sa s s’indigner des barricades dressées devant et aux alentours de sa maison, empêchant ses enfant d’aller à l’école et a son épouse d’aller au travail. Ousmane Sonko a aussi mis le doigt sur la personnalité de Frédéric Napel. Avant de revenir sur la précipitation avec laquelle son procès en appel à été traité.
Quant au produit qui lui a été aspergé dans son véhicule, Ousmane Sonko a révélé que le résultat des analyses réalisées par des laboratoires européennes sont formelle. » On a bien voulu m’assassiner et les preuves sont irréfutables. « .
En outre Ousmane Sonko qui est l’objet de plusieurs plainte , même pour des raisons fallacieuses s’offusque du fait que les plaintes qu’il dépose au tribunal ne connaissent jamais de suite. Comme la plainte contre l’avocat Elhadji Diouf ou celle sur l’affaire des 94 milliards et tant d’autres.
Sur le dialogue, monsieur Sonko est d’avis que des l’instant où le président Macky Sall lui même a dut que tout est rose dans le pays, il n’y a pas lieu de dialoguer. Et de se demander comment peut on dialoguer si le président Macky Sall ne répond pas à l’attente des sénégalais en les assurant qu’il ne se présentera pas à une troisième candidature. Et le leader des patriotes de rappeler le point saillant du référendum de 2916, à savoir la réduction de son mandat et comment avec l’aide du Conseil constitutionnel le président de la République est revenu sur sa décision malgré les suffrage ses sénégalais pour une réduction du mandat.
Ousmane Sonko a aussi mis en garde les Sénégalais sur la loi d’amnistie qui est très agitée à la veille du dialogue. Pour leur dure d’être vigilants quant à cette loi qui pourrait profiter à ceux qui ont détourné les deniers de ce pays. Qui plus est la seule chose qui intéresse Macky Sall dans ce dialogue c’est la validation de sa troisième candidature.
In fine Sonko dit Oui au dialogue mais dans le cadre du respect des intérêts du peuple.
