Le républicain

Barthélémy Diaz face à la presse : Les derniers soubresauts d’un politicien qui se meurt.

Frappé par la loi qui l’a déchu de son mandat de député et radié de l’assemblée nationale, Barthélémy Diaz pleure, gémit et tente de  travestir la vérité des faits. Qui restent quand même têtus . Très mal à l’aise devant la presse il  a essayé sa s convaincue de déplacer le débat du cadre juridique vers la  politique. Le bourreau de feu Ndiaga Diouf rattrapé par l’article 51 du règlement de l’assemblée nationale  a d’une manière pathétique  s’est définit comme une victime d’un règlement de comptes politique. A ce propos , loin d’être maître de son sujet il a  comme on dit, amusé la galerie.  En vérité l’exercice de communication de l’ex agent infiltré de Macky Sall dans l’opposition pour phagocyter le Pastef et son leader avait les contours d’un adieu à la scène politique.   Barthélémy Diaz , intellectuellement très mal  structuré,  sans assise populaire comme en témoigne son  score insignifiant  au plan départemental et au plan nationale lors des législatives du 17 novembre dernier,  n’a pas les moyens de rebondir pour s’assurer un avenir politique. D’ autant plus qu’il pourrait prochainement être delis de ses fonctions de maire de Dakar si l’on s’en tient aux disposition de la loi . Qui plus  est,   la casquette de judas que lui ont vissée les sénégalais sur la tête, suite à ses galipettes après avoir été élu maire de Dakar par les soins qui vous savez , n’est pas pour lui facilité les choses dans un contexte où les  gens de sa génération rêvent d’une autre façon. de faire la politique. Qui met en avant, la compétence, la décence et capacité du don de soi.

 

 

 

 

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