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La Tanzania Peace Fundation (TPF) a organisé, le 16 octobre 2021 à Dar Es-Salaam, en Tanzanie, un séminaire, sous le thème : « L’impératif de la relance post-covid : comment la résolution du problème du Sahara peut-elle renforcer la stabilité et l’intégration de l’Afrique ?». L’événement a réuni une quarantaine d’experts, universitaires, membres du Think-Tank, chercheurs et éminentes personnalités politiques africaines, issus, entre autres, du Rwanda, du Kenya, des Comores, du Burundi, de la Tanzanie, de l’Ouganda, du Mozambique et de l’Afrique du Sud.
Au cours de leurs interventions, les participants ont été unanimes à réclamer l’expulsion de la « république arabe sahraouie démocratique (rasd) » de l’Union africaine (UA), en ajoutant que ce groupe de séparatistes armés, soutenus par l’Algérie, ne répond à aucun des critères universellement reconnus d’un État souverain.
Ces recommandations pertinentes ont embarrassé le régime algérien, qui a eu recours à une réaction nerveuse et insensée. A ce propos, les responsables algériens ont opté pour la diffusion d’une fake news sur les réseaux sociaux et même à travers les médias officiels à l’instar de l’agence de presse algérienne (APS).
En réaction, le président de la Tanzania Peace Foundation, M. Sadiki Godigodi, a publié, le 23 octobre 2021, un communiqué, dans lequel il a démenti la manipulation systématique des algériens et de leur groupe armé du Polisario, tout en condamnant les fausses informations, signature et cachet inclus dans le document.
