« Je me suis rendu hier vendredi, en compagnie d’un huissier et de plusieurs journalistes, dans mes bureaux après l’annonce, avant-hier, par le gouvernement de la libération des locaux. Le constat a été ahurissant: des vitres brisées, des documents et ordinateurs emportés, des pages de registres arrachées…Des hommes mus par la haine et par la volonté de plaire au tyran ont transformé mes bureaux en champ de bataille…L’intimidation ne marchera pas. Pas de recul ! », écrit Cellou Dalein Diallo, sur sa page Facebook.