Intitulée «Pegasus, les dessous d’une affaire», l’investigation «au long cours» de la chaine marocaine 2M a démêlé «le vrai du faux» autour des accusations portées contre le Maroc quant à un recours présumé au logiciel espion Pegasus.
L’affaire Pegasus a éclaté au grand jour l’an dernier, lorsque la coalition de journaux appelée «Forbidden stories» a publié une série d’enquêtes accusant le Maroc d’avoir infiltré les téléphones de plusieurs personnalités publiques nationales et étrangères et de responsables d’organisations internationales à travers le logiciel informatique israélien «Pegasus».
En réaction, le Maroc avait «rejeté et condamné catégoriquement ces allégations mensongères dénuées de tout fondement» et a porté plainte contre ladite coalition, devant la justice française, pour diffamation en demandant la présentation de preuves réelles impliquant le Maroc dans cette affaire d’espionnage. Jusqu’à présent aucune preuve scientifique n’a été présentée par ce groupement de médias et d’organisations internationales qui ne cherche qu’à nuire à l’image du Maroc.
Cette campagne de désinformation et de manipulation numérique montée de toutes pièces par certaines pays qui se sentent dérangés par la politique marocaine et les avancés réalisées par le Royaume sur les plans du développement économiques et diplomatique vise à entacher l’image à emboiter le développement du Maroc surtout après la normalisation des relations avec Israël et l’entrée en force du pays en Afrique Subsaharienne.
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